Programmation

Pour Maria Donata d’Urso, le corps est un monde en soi, foisonnant, et qui intrigue. Strata puise dans cette matière, se fond dans son mouvement, pour créer de fascinantes sculptures vivantes.

En contrepoint des vibrations urbaines, le mouvement ondoyant des corps. La performance de Fred Bendongué est à l’écoute du temps et de sa nature retrouvée.

Pour créer ce solo, Germaine Acogny s’est entourée de complicités artistiques d’horizons différents. Songook Yaakaar est un cri du temps présent.

En créant ce quatuor Gilles Verièpe se consacre à la rencontre. Entre le jeune public et les danseurs, plus de barrière, mais une déambulation poétique ou le geste magnifie le quotidien.

À l’écoute des pulsions anonymes de la rue, ouverte aux rencontres, la danse de Mourad Merzouki fait son chemin. Du ring à la scène, du jeu aux coulisses de l’exploit.

Corps dansant, corps sonores. Entre matériaux physiques et nouvelles technologies, Annabelle Bonnéry et Sébastian Rivas explorent les relations musique et danse.

Mathurin Bolze lie son destin à ses complices de l’art pour une aventure inédite dans les mondes libres des " sans-terre ".

Abstraites, en lien profond avec une forme de spiritualité, les pièces de Nacera Belaza cherchent à toucher l’âme. L’esprit de sa danse est d’emblée tourné vers la rencontre.

Le spectacle noir de Denis Plassard relève d’une forme incontestablement innovante. Son premier roman photo muet pour la scène est aussi un authentique ballet pour diapositives et instruments à corde déchaînés.

Néons blancs, matériaux métalliques et corps à l’échauffe. Na Grani, une danse puissante forgée par la rencontre exceptionnelle des cinq danseurs russes qui ont rejoint les interprètes de S’poart.

Piano, guitare, chant et percussions accompagnent Andrés Marín, magistral bailaor. Une autre façon de renouer avec l’origine profonde et populaire du flamenco.

Chant, musique et danse invitent au voyage, Del Quivir, interprété par Ángeles Gabaldón, est une promenade le long du grand fleuve andalou, le Guadalquivir.

Dans ces trois duos subtilement composés, le chorégraphe Alban Richard réinvestit la musique de répertoire et questionne la danse autour d’un même sujet : l’érotisme.

Alex Neoral fait partie de la jeune génération des chorégraphes brésiliens. Tres pontos est un cheminement. Trois pièces en regard qui nous parlent de la musique des corps.

Musique vivante et pulsations rythmiques ajoutent au foisonnement d’émotions de la danse d’Hofesh Shechter.Une chorégraphie conçue entre chaos et devenir.