Programmation

Une danse à 140 BPM dans un spectacle survolté en pleine prise avec notre époque.

1 soirée : deux duos, deux histoires d'identité et de rencontre

On s’intéresse ici à la figure du clown Augusto, et plus largement aux mécanismes du rire.

Angelin Preljocaj aime alterner les ballets narratifs et les pièces « de recherche ». Résolument abstraite, sa création 2018 appartient à la seconde catégorie tout en revenant aux sources de sa danse.

Le collectif bruxellois Peeping Tom, spécialiste du théâtre dansé, transmet les aventures de choc de la rue Vandenbranden au Ballet de l’Opéra de Lyon.

Caravane est un projet de coopération inédit imaginé par le Centre national de la danse : un CN D mobile qui vient à la rencontre des acteurs de terrain et des publics, en France et à l’étranger. Il fait voyager le CN D hors ses murs, en région et à l’international.

Enrichie d’année en année, la leçon de hip hop de Céline Lefèvre fait revivre le développement du mouvement avec un enthousiasme communicatif.

Merce Cunningham aurait eu 100 ans en 2019. Sous la houlette de Robert Swinston, le Centre National de Danse Contemporaine (CNDC) d’Angers continue de faire redécouvrir son répertoire. C’est avec cette pièce mythique que la Biennale ouvre la saison de ce centenaire.

« Le nom de cet appareil utilisé en laboratoire pour mélanger des substances est le titre d’un cocktail alliant film, scène et genres musicaux, une sorte de cinéma fait main offrant un résultat surprenant. »

À l’occasion de la Biennale de danse est organisé le Dansathon, premier hackathon européen consacré à la danse.

Avec Bienvenue, la chorégraphe et danseuse suisse Eugénie Rebetez poursuit sa recherche sur la relation entre le dedans et le dehors, l’intime et le public. Dans ce solo, son personnage tragi-comique nettoie littéralement la scène.

Que fait-on, aujourd’hui, de ce que l’on ne maîtrise pas ? A partir de cette interrogation, Fabrice Lambert invite le public à découvrir Aujourd’hui, Sauvage, pièce pour sept danseurs et un musicien.

Une pièce en réalité virtuelle immersive. Pour la première fois, un chorégraphe allie réalité virtuelle immersive et danse dans une expérience sensorielle inédite.

Jérôme Bel présente quatre de ses projets (vidéo et live) dans des lieux symboliques de l’espace public. Ensemble, ils dessinent un portrait critique de l’humanité qui questionne in situ le champ politique comme scène de la performance sociale.

Autour de sa pratique photographique, Josef Nadj convie le public à un passionnant laboratoire artistique dans ce projet photographique et performatif.

Fictions dansées, clips burlesques, documentaires, films en 3D… La danse sous toutes ses formes !

Danse et réalité virtuelle : découvrez les films les plus pointus du moment !

Un appel à la résistance : Maguy Marin sonde nos coeurs ravagés par le néolibéralisme dans cette création présentée en première mondiale.

Sept danseurs pour une pièce sur le groupe et la fraternité : Marco da Silva Ferreira trace son chemin avec une écriture réfléchie.

Pleure-t-on jamais à tort ? Dans un spectacle pour tous les âges, l’artiste belge Miet Warlop passe par le rire et les larmes grâce à deux grands ours.

Le chorégraphe Mourad Merzouki prend un nouvel envol et fait décoller les danseurs hip-hop.

Avec brio et cran, la chorégraphe irlandaise explore quatre facettes de la vie à Belfast.

Extrait de Hard to Be Soft - A Belfast Prayer, création présentée à la Biennale de la danse 2018

Oona Doherty est une jeune chorégraphe nord-irlandaise très repérée. Sa dernière création - Hard to Be Soft, A Belfast Prayer - montre différents visages de la société irlandaise. Dans cet extrait - qui constitue la deuxième partie du spectacle - Oona Doherty dresse le portrait de jeunes femmes en pleine adolescence, qui doivent s’imposer pour tracer leur chemin. Cette chorégraphie existait déjà dans une version irlandaise et Oona Doherty a choisi de la transmettre à de jeunes danseuses amatrices issues de l’École Nationale de Musique et de Danse de Villeurbanne avec lesquelles elle travaille depuis février 2018.

Un spectacle qui conjugue avec bonheur humour, onirisme et bienveillance !

Avec l’enfance pour témoin, Rachid Ouramdane questionne l’impact géographique et mental des migrations.

Trois silhouettes masculines, entre danse et acrobaties, perfectionnent l’art de tomber.

La mesure du désordre a été créée à l’occasion de la rencontre inédite entre le collectif La Bolsa et Thomas Hauert, chorégraphe installé à Bruxelles avec sa compagnie ZOO depuis 20 ans.

« Une effraction chorégraphique sur le toit du Parc LPA Cordeliers »

Yoann Bourgeois et Michel Reilhac nous embarquent dans un voyage spatio-temporel en réalité virtuelle !

En questionnant la fabrication du collectif, Yuval Pick démontre la capacité des danseurs à « faire ensemble », à l’unisson des différences.