Programmation

Le chorégraphe Akram Khan, connu pour ses chorégraphies à succès et ses collaborations avec Peter Brook, Juliette Binoche et Sylvie Guillem, présente un bijou chorégraphique qui ravira petits et grands.

Neuf danseurs sur scène, la musique de Mahler en point d’orgue. Le nouvel opus d’Alain Platel s’annonce comme la sensation de la rentrée.

Le Ballet de l’Opéra de Lyon fait le grand écart avec un programme d’exception porté par deux chorégraphes très différents.

Pour la première fois en France, la rencontre des plus grandes compagnies de danse tous styles confondus, dans un événement unique qui va mettre le feu au plancher !

Une horde de femmes vêtues de noir envahit l’espace de ses cris et efface toute notion de temps tant l’expérience est saisissante.

Une danse organique qui pointe avec jubilation les tensions d’un désir qui voudrait s’affranchir des conventions sociales.

Réunir le dancehall et les polyphonies médiévales dans une même pièce. Tel est le pari osé du duo phare de la danse contemporaine, Cecilia Bengolea et François Chaignaud.

Hommage à Ian Curtis autant que retour aux sources du chorégraphe, le syndrôme ian ose la rencontre entre danse de club et dans de scène.

Sept jongleurs s’emparent des balles comme autant de possibles, autant d’inconnues à inventer. Une recherche de l’individu dans les trajectoires, dans les élans, Dans les plis du paysage...

L’une des plus célèbres interprètes de Pina Bausch se met en scène dans une pièce irrésistible de poésie et de drôlerie.

Agé de trente-quatre ans seulement, l’artiste américain Daniel Linehan s’affirme comme un des chorégraphes les plus singuliers de sa génération.

Une causerie de haut vol qui raconte une Histoire spirituelle de la danse, animée par David Wahl.

Une rencontre azimutée entre le langage de Denis Plassard et les marionnettes d’Émilie Valantin !

Le metteur en scène et chorégraphe grec Euripides Laskaridis, lauréat 2016 de la bourse Pina Bausch, présente pour la première fois à Lyon ce solo inclassable.

Pour la première fois programmé en France, le chorégraphe italien Fabrizio Favale livre un spectacle qui tient autant du ballet que du concert électronique.