Irvin Anneix • Plan fixe sur la jeunesse
Début mars nous avons accompagné l’artiste vidéaste Irvin Anneix à la rencontre de jeunes lyonnais pour réaliser de nouvelles capsules vidéo dans le cadre de son projet Cher futur moi, débuté en 2016. Collectionneur de récits adolescents et de journaux intimes, Irvin Anneix enrichit son univers artistique au contact des histoires qui lui sont confiées. Dans la communauté de Cher futur moi, toutes les identités et tous les récits ont leur place. La caméra s’invite, pour la Biennale, dans l’intimité d’Abla, d’Ikhlass et des autres, chacun s’adressant à son moi du futur, au jeune adulte qu’il s’imagine être demain, en lui confiant ses pensées d’aujourd’hui. Ces capsules temporelles, en dialogue avec d’autres réalisées en Afrique et dans les DOM-TOM, seront à découvrir dans une installation vidéo aux Usines Fagor du 8 au 16 juin 2021.
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Christophe Haleb • Corps à cœur avec la jeunesse lyonnaise
Le chorégraphe marseillais Christophe Haleb travaille depuis septembre 2019 sur la version lyonnaise de Entropic Now, son projet filmique et performatif avec et sur la jeunesse. Avec l’option danse du Lycée Récamier de Lyon et d’autres jeunes de la Métropole lyonnaise âgés de 16 à 20 ans, Christophe Haleb construit une installation-performance autour de la diversité de leurs pratiques physiques urbaines et poétiques, mais aussi autour de leurs questionnements, leurs désirs et leurs doutes. Nous les avons accueillis aux Usines Fagor en janvier et février pour deux sessions de travail inspirées et inspirantes. Vous pourrez découvrir ce détonnant croisement d’univers et d’émotions du 8 au 16 juin aux Usines Fagor.
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Noé Soulier • Quand le mouvement se partage
Quel bonheur de voir Noé Soulier, jeune chorégraphe récemment nommé directeur du Cndc d'Angers et invité à la Biennale, transmettre la reprise de sa pièce Removing aux danseurs du Jeune Ballet du CNSMD de Lyon ! Plusieurs temps de répétitions sont programmés pour préparer cette pièce exigeante. En effet, l’abstraction du travail théorique de Noé Soulier requiert une grande maîtrise du mouvement au plateau et une approche technique de précision, que les jeunes danseurs abordent avec toutes leurs qualités d’écoute et de mouvement. La Biennale est heureuse d’accompagner cette nouvelle génération de chorégraphes et danseurs et de vous dévoiler en images les coulisses de la re-création, à découvrir aux usines Fagor les 11 et 12 juin.
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